enfin voila

Enfin, voilà

Le troupeau se reconstitue

La fraicheur accueille et les chèvres et leur image.

Double, miroir du temps

Elles gambadent tout à tour mutines et obstinées

Sous les frondaisons incertaines

Où se devinent les griffures d’un temps

Verdâtre.

Fraicheur

En ce temps de canicule, j’aspire à les rejoindre

Libre !